poème enterrement

Lors des funérailles de Johnny Hallyday, une scène inattendue a ému les participants : des escargots, rappelant le célèbre poème de Jacques Prévert. Pour rendre hommage au chanteur, les filles de Johnny, Jade et Joy, ont choisi un poème de Prévert, lu avec émotion par l’acteur Jean Reno. Cette lecture a suscité une forte émotion parmi les présents, rappelant l’importance des mots et de la poésie dans les moments de deuil.
Par ailleurs, à l’autre bout du monde, au Chili, on se souvient encore avec ferveur de Pablo Neruda, cinquante ans après sa mort. L’écrivain est toujours présent dans les esprits, comme en témoigne le cri « Camarada Pablo Neruda, presente ! » qui résonne encore aujourd’hui.
En France, la mémoire de l’Abbé Pierre reste vivace, notamment à travers son appel historique du 1er février 1954 en faveur des plus démunis. Son engagement en faveur des plus précaires continue d’inspirer et de mobiliser.
La culture est également un moyen de rendre hommage aux artistes disparus, comme en témoigne le livre consacré à Bernard Manciet, visant à faire résonner son œuvre et sa sensibilité.
En Suède, le respect pour les défunts est mis en lumière à travers le lent chemin des morts vers leur dernier repos, mettant en lumière le respect et la solennité entourant les rites funéraires.
Ailleurs, à Béjaïa, c’est le poète Ahmed Lahlou qui est honoré lors de ses funérailles à Ighil Ali. Sa poésie laisse une empreinte indélébile dans le cœur de ceux qui l’ont connu et aimé.
Enfin, à Dijon, l’opéra « Armide » de Lully résonne avec toute sa beauté et sa puissance, rappelant la richesse de la culture et de l’art qui transcendent le temps et l’espace.
Même à travers les tatouages, comme ceux de Jadon Sancho, les individus expriment leur singularité et leur personnalité, laissant une trace indélébile de leur passage sur cette terre.

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