poeme sur le temps

Ce matin, j’ai été transporté par la lecture du poème du lundi, intitulé « Vers l’ange du bizarre », qui m’a immergé dans un univers empreint de mystère et de fantaisie. Ce poème, tel une symphonie du temps qui passe, m’a rappelé la beauté et la fragilité des instants qui s’égrènent.
Un autre récit poétique qui a captivé mon attention est celui de « Cognac », un voyage musical et onirique explorant les méandres du temps qui file inexorablement. L’œuvre semble être une invitation à la contemplation et à la réflexion sur notre rapport au temps.
À Limerzel, j’ai découvert l’œuvre de Jean-Frédéric Berger, poète ciseleur de mots, dont la plume délicate et minutieuse captive l’âme et l’imagination. Ses vers semblent être des bijoux littéraires, taillés avec précision pour révéler la beauté de la langue.
Par ailleurs, j’ai lu avec intérêt le poème à la durée de Peter Handke sur critiquesLibres.com, qui interroge de manière profonde la notion du temps qui s’écoule inexorablement et laisse sa marque sur tout être vivant.
La figure de Charles d’Orléans, poète « confiné », évoquée dans un article sur Culture 31, m’a semblé particulièrement touchante. Sa poésie, empreinte de mélancolie et de nostalgie, résonne encore aujourd’hui et nous rappelle la force de l’écriture face à l’adversité.
En apprenant le décès d’Andrée Marik, érudite et poète de renom, à l’âge vénérable de 103 ans, j’ai été ému par la perte d’une voix singulière qui a illuminé le monde de la poésie. Sa contribution à l’art poétique restera gravée dans les mémoires.
Je me suis aussi plongé dans l’univers de « Poé’Vies » à Mouscron, où le temps semble se métamorphoser en poèmes vivants, témoignant de la richesse de la créativité humaine face à l’inexorabilité du temps.
Enfin, le poème du dimanche, « D’ailes et d’empreintes » de Hubert Haddad, m’a profondément bouleversé par sa puissance évocatrice et sa capacité à nous rappeler la fragilité de la vie et la nécessité de préserver la paix.
La poésie, par sa capacité à transcender les frontières et à exprimer l’inexprimable, demeure un outil essentiel pour dénoncer les horreurs de la guerre et pour célébrer la beauté simple de l’existence.

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