poème sur la mort

Dans la douce lumière de l’aube, les mots qui « renaissent au matin » viennent combler la bouche de vie, réveillant en nous des émotions profondes et des réflexions intimes. Comme les plus belles chansons sur le deuil et la mort résonnent en nous, nous nous laissons emporter par une vague de souvenirs et de sentiments, naviguant entre la tristesse et la beauté de la vie qui s’échappe.
L’exposition sur Charles Baudelaire, où la mélancolie est sublimée, nous plonge dans un univers poétique et tourmenté, nous invitant à réfléchir sur la nature de l’âme humaine et sa quête de sens. En écoutant un concert en honneur de Nora Quoirin, disparue tragiquement, nos cœurs se serrent devant la cruauté du destin et la fragilité de l’existence.
Dans une lettre d’amour à mon père décédé, les mots se font tendres et chargés d’émotion, exprimant le manque et la gratitude mêlés qui habitent le cœur en deuil. Des promenades naïves dans un carré poétique congolais nous entraînent dans un univers coloré et vibrant, où la poésie se mêle à la réalité avec finesse et grâce.
Barthes nous rappelle que malgré le deuil et la perte, « la vie stupide continue », nous incitant à trouver des petits bonheurs et des instants de grâce même dans les moments sombres. Nabile Farès, à la mémoire de l’Absent, nous guide à travers le parcours d’un écrivain algérien, nous invitant à découvrir la richesse de son œuvre et la profondeur de ses réflexions.
Le cri de Dany Laferrière résonne avec force : « Le racisme est un virus », nous rappelant l’importance de lutter contre les injustices et les préjugés qui empoisonnent notre société. Enfin, les mots de Jean-Louis Trintignant résonnent en nous : « Je fais semblant de vivre », nous interrogeant sur la frontière subtile qui sépare la réalité de l’illusion dans nos existences tourmentées.
En fin de compte, que ce soit à travers la musique, la poésie, la littérature ou le témoignage personnel, la mort, le deuil et la vie trouvent leur écho dans nos cœurs et nos esprits, nous invitant à réfléchir sur la beauté éphémère de notre passage sur cette terre.

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