poème lyrique

Dans les méandres de la poésie, se jouent des rencontres improbables. Antoine Emaz, poète naviguant entre Lausanne, Paris Nanterre et Montreuil, explore l’épreuve élémentaire de soi à travers ses vers ciselés. Inspiré par le XIVe et le XXIe siècle, il tisse des liens entre le jeu de quilles et la construction de la valeur de la poésie, révélant ainsi la dimension intemporelle de cet art.
La poésie visuelle et plastique se mêle dans une démarche conjointe, révélant la richesse et la diversité des formes que peut revêtir la poésie. À Bordeaux, le baryton Stéphane Degout donne voix à cette poésie enchanteresse, mettant en musique les mots et les émotions qui se déploient à travers ses interprétations.
Pourtant, la poésie se heurte parfois à des adversités. Face à la prose et aux conventions, certains poètes choisissent de résister, de s’élever « en vers et contre tout », affirmant la force et la puissance de leur art.
Dans ce tourbillon d’émotions et de réflexions, la mort de Milan Kundera rappelle la fragilité de l’art du roman, mais aussi sa résilience face au temps qui passe. Comme le souligne le poème du lundi, la poésie est parfois brutale, déchirante, mais elle sait aussi célébrer la vie, même au coeur des ténèbres de Nietzsche.
Ainsi, à travers l’histoire de Lyon, entre les muses de l’Opéra et le mystère de la statue disparue, la poésie continue de résonner, de hanter les rues et les esprits, témoignant de la force et de la beauté de l’art qui transcende les frontières et les époques.

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